Comité coordonnateur du RRF | ACUFC

Comité coordonnateur du Réseau de la recherche sur la francophonie canadienne

Zacharie Collins est étudiant au programme de maîtrise multidisciplinaire en sciences sociales de l’Université de Moncton. Il est également auxiliaire de recherche à la Chaire de recherche du Canada. Iel s’intéresse aux mouvements sociaux, aux mobilisations linguistiques et à la francophonie ontarienne. Il détient un baccalauréat ès arts en criminologie et psychologie de l’Université York. Iel a également fait des études en histoire et éducation. Sa thèse de maîtrise porte sur la mobilisation linguistique de 2018 pour la francophonie ontarienne.

Danielle de Moissac est professeure titulaire à la Faculté des sciences de l’Université de Saint-Boniface au Manitoba. Son début de carrière professionnelle, d’abord comme infirmière puis en recherche fondamentale en physiologie, l’ont mené à poursuivre un doctorat en physiologie à l’Université du Manitoba. Aujourd’hui, elle dirige un programme de recherche portant sur la santé et l’accès aux services sociaux et de santé en français pour les francophones vivant en situation minoritaire tant au Manitoba qu’ailleurs au Canada. Depuis 2005, elle a mené des études auprès des jeunes, des aînés, des personnes issues de l’immigration et des personnes 2ELGBTQ+.

Michelle Landry est titulaire de la Chaire de recherche du Canada sur les minorités francophones canadiennes et le pouvoir et professeure agrégée de sociologie à l’Université de Moncton. Avant d’occuper ce poste, elle a été professeure adjointe de sociologie au campus de Shippagan de cette même université pendant 10 ans. Ses travaux de recherche s’intéressent à la capacité des minorités francophones du pays d’agir sur elles-mêmes, à leur gouvernance, à leurs mobilisations et au nationalisme. Elle est co-éditrice de L’état de l’Acadie (Del Busso éditeur, 2021), un ouvrage de référence comprenant une centaine de textes accessibles permettant de mieux comprendre l’Acadie d’aujourd’hui, et est l’autrice de L’Acadie politique. Histoire sociopolitique de l’Acadie du Nouveau-Brunswick, publié aux presses de l’Université Laval (2015). Michelle Landry est titulaire d’un doctorat en sociologie de l’Université Laval (2011).

Serge Quinty évolue dans le domaine des communications et dans le monde de la francophonie canadienne depuis deux décennies. Il a d’abord développé une expertise comme journaliste et rédacteur, notamment à la radio communautaire CHUO-FM (Université d’Ottawa), à la radio de Radio-Canada à Ottawa, au quotidien LeDroit et aux revues Liaison et Infomag.

Par la suite, il a opté pour les relations publiques et la gestion de projets en tant agent de production et de liaison à l’Alliance des radios communautaires du Canada (1999-2004) À ce titre, il a notamment coordonné un vaste projet visant à appuyer l’implantation de quatre radios communautaires au Bénin, au Mali et au Sénégal.

Serge Quinty est directeur des communications de la FCFA depuis 2005. Ses responsabilités comprennent les relations médiatiques, la production des documents d’information et l’analyse continue des enjeux du secteur de la radiodiffusion.

Il a également siégé comme secrétaire et trésorier au conseil d’administration du Fonds canadien de la radio communautaire (FCRC), ainsi qu’au conseil d’administration du Centre psychosocial d’Ottawa dont il a été président de 2018 à 2020. Il siège aussi au comité consultatif du programme de relations publiques du Collège La Cité.

Détenteur d’un baccalauréat en communications de l’Université d’Ottawa (1996), M. Quinty a complété une maîtrise en sociologie, également à l’Université d’Ottawa, en 2001.

M. Quinty est marié et père de deux enfants.

Joël Thibeault est professeur de didactique du français à la Faculté d’éducation de l’Université d’Ottawa. Il est également professeur auxiliaire à la Faculté d’éducation de l’Université de Regina. Ses travaux portent sur l’enseignement et l’apprentissage de l’écriture et de la grammaire en contextes plurilingues et minoritaires. Il s’intéresse aussi à l’utilisation de la littérature de jeunesse dans l’enseignement des conventions linguistiques et à l’enseignement intégré des langues.