qui forment le Comité de gestion national en petite enfance pour accomplir une mission historique : développer la petite enfance et les services de garde en français, tout en améliorant la santé et le bien-être des jeunes enfants dans les communautés francophones en situation minoritaire au Canada.
de formation et de renforcement des capacités en petite enfance lancés dans l’Est, l’Ouest et le Nord du Canada ainsi qu’en Ontario.
pour financer ces projets, qui s’échelonnent sur deux ans et dont la réalisation s’appuie sur plus d’une centaine de partenariats.
— associations de parents, organismes de services et de représentation, établissements d’enseignement et coalitions.
du secteur de la petite enfance où ces projets sont en voie de réalisation.
(CFSM) au minimum au pays où le domaine de la petite enfance et les familles bénéficieront de l’impact direct de ces projets.
En 2019, l’Association des collèges et universités de la francophonie canadienne (ACUFC), en collaboration avec ses partenaires nationaux — la Commission nationale des parents francophones (CNPF), la Fédération nationale des conseils scolaires francophones (FNCSF), le Réseau de développement économique et d’employabilité du Canada (RDÉE Canada) et la Société Santé en français (SSF) — a lancé un premier appel de propositions pour des projets s’articulant autour de deux grands axes :
Élaborer des formations adaptées aux besoins des communautés francophones en situation minoritaire
Assurer, au moyen de la formation initiale et continue, le recrutement et le maintien en poste des éducatrices et des éducateurs de la petite enfance
Des intervenants de neuf provinces et d’un territoire ont répondu à cet appel pancanadien : des organismes de services, des collèges et des universités ainsi que des associations provinciales et territoriales œuvrant directement en petite enfance en français ont présenté des projets de toute envergure.
Malgré la pandémie qui perdure, les travaux de fond en matière de formation et de renforcement des capacités des éducatrices et des éducateurs de la petite enfance en situation minoritaire se sont poursuivis à l’échelle nationale.
Une quarantaine de communautés francophones en situation minoritaire (CFSM) ont assisté depuis 2019 à la planification, au lancement et/ou à la mise en œuvre de 24 projets de formation en petite enfance et de renforcement des capacités des professionnels de la petite enfance.
Toutes ces initiatives ont été conçues expressément pour répondre à des besoins criants et à des défis d’envergure :
Les projets en cours dans sept champs d’action du secteur de la petite enfance sont menés par plus d’une vingtaine de sous-bénéficiaires animés par la même vision : la formation et le renforcement des capacités des éducatrices et des éducateurs de la petite enfance dans les communautés francophones en situation minoritaire.
Toute la recherche réalisée en début de parcours pour dresser un état des lieux complet en matière de formation en petite enfance ainsi que tous les projets planifiés ou entrepris depuis l’an dernier sont rendus possibles grâce au financement du gouvernement du Canada. Ce financement s’inscrit dans le cadre du Plan d’action pour les langues officielles 2018-2023 : Investir dans notre avenir et est versé par l’entremise d’Emploi et Développement social Canada (EDSC).
Les projets ont une caractéristique commune : ils sont axés autour d’un partenariat intersectoriel. Ainsi, dans les diverses communautés et selon les collaborations nouées, certains partenaires travaillent à développer la formation initiale et continue; d’autres planchent sur l’offre et la prestation de ces programmes de formation; quelques-uns se penchent sur l’évaluation et la mise à jour des programmes de formation et de francisation; enfin, certains accordent la priorité aux stratégies de recrutement, de rétention et d’accompagnement professionnel.
Rappelons qu’en 2019, un premier appel de propositions a été lancé pour des projets ciblant la formation et le renforcement des capacités des éducatrices et des éducateurs de la petite enfance des communautés francophones en situation minoritaire.
Des organismes et des établissements travaillant dans ce secteur, soit à l’échelle nationale, soit dans l’Est, le centre, l’Ouest ou le Nord du Canada, ont déposé des propositions de projets.
D’ici 2022, 8 millions de dollars auront été consacrés à la réalisation de 24 projets s’échelonnant sur deux ans. Le tableau qui suit présente les sous-bénéficiaires à l’œuvre et leurs initiatives inédites, qui promettent d’avoir un impact durable en matière de formation en petite enfance.
Adapter la formation à distance Du français en quelques clics, laquelle servira à renforcer les capacités linguistiques des éducatrices et des éducateurs de la petite enfance à l’échelle du pays.
Des ententes sont établies avec des partenaires. Les éducatrices et éducateurs ont accès à une formation modulaire à distance qui est adaptée à leurs horaires de travail respectifs et assortie de toutes les fonctionnalités d’accès. Ainsi, ces personnes améliorent leurs compétences linguistiques ainsi que la qualité de leurs interventions en français. Au départ, une soixantaine de professionnels sont formés. Au fur et à mesure que la formation gagnera en notoriété dans les communautés francophones en situation minoritaire, le taux de participation augmentera.
Contribuer à remédier à la pénurie chronique de personnel qualifié avec l’offre d’une formation continue et flexible en leadership et en administration des services à l’enfance.
En l’espace de six mois seulement, des éducatrices, des éducateurs et des gestionnaires de centres de la petite enfance se perfectionnent en soirée grâce à un mode de prestation adapté. Plus d’une centaine de professionnels en poste bénéficient de cette formation continue. De plus, grâce à un modèle d’accompagnement pédagogique taillé sur mesure, le taux de rétention continue d’augmenter et le bassin de candidates et de candidats éventuels s’élargit pour répondre aux besoins de main-d’œuvre qualifiée des employeurs.
Mettre en place un réseau pancanadien de formation et d’outillage en construction identitaire francophone en petite enfance, bien ancré dans les milieux minoritaires.
Des formateurs champions et des formateurs communautaires en construction identitaire sont formés à l’échelle du pays. À leur tour, ils forment plus de 1 500 professionnels en poste ou en devenir. Ces derniers ont les connaissances et les compétences nécessaires pour utiliser pleinement les outils, les plateformes de réseautage et les expertises à leur disposition. Le réflexe d’intentionnalité, qui s’appuie sur les principes directeurs d’une intervention en construction identitaire francophone, est ainsi intégré à leur pratique. La programmation éducative en est améliorée et permet aux enfants de vivre des occasions riches de sens en français tout en construisant leur identité francophone.
Rehausser la qualité des services éducatifs francophones en matière d’accueil et d’accompagnement des parents, tout en valorisant le rôle joué par les éducatrices et les éducateurs au cœur des communautés francophones en situation minoritaire.
La formation en accueil et en accompagnement du parent de niveau 1 est offerte au moins dans cinq provinces; la formation de niveau 2, élaborée grâce à une collaboration pancanadienne, est offerte au pays par des personnes formées selon un processus reconnu de formation de formateurs et s’appuie sur l’approche d’accueil et d’accompagnement du parent en milieu minoritaire développée par l’AFPNB. Des centaines d’éducatrices, d’éducateurs et de directions de la petite enfance sont formés. Les compétences et les pratiques de ces professionnels s’améliorent tant et si bien que les parents sont dorénavant assurés de recevoir des services éducatifs de qualité supérieure en français.
Élaborer une autoformation en ligne qui outille les éducatrices et les éducateurs pour qu’ils soient en mesure de développer les fondements essentiels de la numératie chez la petite enfance francophone en contexte minoritaire.
Par l’adoption d’une approche de la numératie fondée sur le jeu et l’enquête, les éducatrices et les éducateurs augmentent les futures chances de succès scolaire de la petite enfance. On estime qu’au moins 500 professionnels pourront appliquer cette pédagogie enrichie en contexte francophone minoritaire grâce à ce modèle reconnu d’autoformation spécialisée.
Répondre aux besoins de renforcement des compétences des professionnels de la petite enfance et accroître le nombre de ces derniers en créant le tout premier cours postsecondaire en éducation à l’enfance en français à Terre-Neuve-et-Labrador.
Le personnel des services en petite enfance — éducatrices, éducateurs et gestionnaires — est formé en français, une première historique dans cette province. La formation appuie le perfectionnement professionnel de ces ressources humaines francophones et bilingues. Ainsi, on réussira à stimuler le recrutement et la rétention de personnel qualifié du secteur de la petite enfance dans la province en vue d’atteindre les cibles suivantes : 10 éducatrices ou éducateurs et 30 étudiants demandeurs d’emplois.
Pallier la pénurie criante de main-d’œuvre pour donner à un plus grand nombre d’enfants la possibilité de grandir et de s’épanouir en français.
Grâce à l’offre d’un post-diplôme et à un apprentissage pratique, le nombre d’éducatrices et d’éducateurs de la petite enfance augmente. Les compétences de ces derniers en matière de gestion et de leadership pédagogique s’améliorent. Les postes trop longtemps vacants dans les centres de la petite enfance en milieu minoritaire sont pourvus par une demi-douzaine de professionnels compétents nouvellement recrutés et/ou formés. Le maintien en poste de ces personnes est favorisé par la possibilité qui leur est offerte d’étudier tout en travaillant grâce à des subventions d’appui et de suppléance.
Évaluer et mettre à jour le programme d’éducation à la petite enfance en lien avec le Cadre pédagogique pour l’apprentissage des jeunes enfants, adopté par la Nouvelle-Écosse en 2018.
Une étude approfondie a été menée dans le secteur de la petite enfance avec la participation d’une cinquantaine d’intervenants; tous les cours offerts dans le cadre du programme ont fait l’objet d’une évaluation exhaustive. Aujourd’hui, bien intégré au cadre pédagogique provincial et adapté aux réalités du contexte minoritaire, le programme favorise l’adoption de pratiques pédagogiques axées davantage sur la construction identitaire, un aspect d’une importance fondamentale pour bien répondre aux besoins de la communauté francophone.
Renforcer les capacités des éducatrices et des éducateurs en petite enfance et assurer la rétention de ces derniers en rehaussant leur sentiment d’appartenance.
Des douzaines de formations sur mesure sont élaborées et offertes ainsi que diverses formes de soutien, dont l’échange de pratiques exemplaires avec des communautés en situation similaire, des outils documentaires et un processus d’accompagnement. Grâce à une formation et à un appui moral et professionnel continus, les ressources humaines en petite enfance ont les compétences d’agir et la volonté de contribuer à la vitalité d’une région doublement minoritaire.
Favoriser le perfectionnement professionnel en ligne par la modernisation du programme d’éducation à l’enfance et par l’accès à des ressources éducatives.
La première année du programme collégial a été mise à jour; le contenu de 16 cours a été élaboré et médiatisé. La première cohorte — une vingtaine d’inscriptions attendues en première année — et celles qui suivront sont assurées de recevoir un apprentissage expérientiel beaucoup plus interactif. Le mode de prestation est souple pour accommoder l’horaire de travail des éducatrices et des éducateurs de la petite enfance. Étudiants et professionnels ont également libre accès à un éventail de ressources éducatives élaborées expressément pour eux.
Créer un baccalauréat articulé en éducation à la petite enfance en français, offert en partenariat avec le CCNB et le Collège de l’Île (2 ans au collège et 2 ans à l’université) dans la région de l’Atlantique.
Des ententes d’articulation ont été signées avec le Collège communautaire du Nouveau-Brunswick et le Collège de l’Île. Désormais, les éducatrices et les éducateurs en poste ou en devenir ont accès à une formation universitaire créditée en français avec une composante qui touche le développement linguistique, culturel et identitaire en contexte minoritaire. La stratégie de promotion publicise la valeur ajoutée de cette formation universitaire enrichie, ce qui contribue à susciter un plus grand intérêt envers la profession.
Élaborer un cadre d’orientation pédagogique en francisation préscolaire, avec une formation à l’appui accessible aux éducatrices et aux éducateurs de la petite enfance dans toutes les communautés francophones en situation minoritaire.
La qualité des pratiques pédagogiques en matière de francisation préscolaire et de construction identitaire est à la hausse dans les centres de la petite enfance francophones de la province et d’ailleurs au Canada. Les compétences professionnelles des éducatrices et des éducateurs des communautés francophones en situation minoritaire se sont améliorées et le taux de roulement des effectifs est en baisse. Le nombre de professionnels formés augmente tout comme le taux de satisfaction de ces derniers face à leur profession, car celle-ci gagne sans cesse en importance.
En réponse à la pénurie chronique de personnel qualifié, élargir l’offre de programmes de formation continue en français avec l’ajout d’un diplôme en services à l’enfance selon un modèle d’études à distance accélérées et intégrées au milieu de travail.
Le retour aux études est grandement facilité et le nombre de professionnels qualifiés en français augmente ainsi que leur taux de rétention. En seulement 18 mois, les travailleurs obtiennent leur diplôme tout en conservant leur emploi. Tout est en place pour assurer leur réussite : modèle d’accompagnement pédagogique et de mentorat, outils d’évaluation et d’équivalence permettant la reconnaissance de leurs acquis et de leurs expériences, et ressources pédagogiques sous forme de capsules-vidéo, de guides et de trousses.
Pallier la pénurie de personnel qualifié par la création de communautés d’apprentissage virtuelles favorisant la rétention des effectifs et le partage de solutions durables.
L’Ontario assiste au démarrage de deux communautés virtuelles d’apprentissage, l’une axée sur les besoins particuliers des éducatrices et des éducateurs, l’autre conçue expressément pour aider les gestionnaires des services de garde. Les professionnels ont désormais accès à une plateforme virtuelle regroupant des outils identitaires, des ressources linguistiques, des pratiques exemplaires et l’ensemble des expertises disponibles en matière de pédagogie et de gestion. Ainsi, les professionnels se sentent plus confiants, plus compétents et mieux outillés pour faire grandir la petite enfance franco-ontarienne.
Créer des outils de formation en ligne pour favoriser le perfectionnement professionnel des éducatrices et des éducateurs en poste ou en devenir.
Près d’une vingtaine d’autoformations axées sur l’apprentissage par le jeu, avec des mises en situation en milieu de garde, s’ajoutent à l’arsenal pédagogique. Ainsi, les éducatrices et les éducateurs de la petite enfance découvrent les fondements et les principes de la ressource d’apprentissage professionnel Comment apprend-on? afin de mieux comprendre les besoins des enfants pour mieux les aider à grandir et à s’épanouir. Cette initiative bien médiatisée rejoint quelque 1 000 professionnels à l’œuvre en milieu francophone en situation minoritaire.
Contribuer au recrutement et à la rétention d’éducatrices et d’éducateurs de la petite enfance en Ontario à l’aide d’un parcours pédagogique individualisé intégrant un processus de reconnaissance des acquis.
Au moins 150 travailleurs non qualifiés du domaine de la petite enfance suivent un cheminement scolaire personnalisé au niveau collégial. Un plus grand nombre d’adultes retournent aux études et le taux de diplomation en Ontario augmente. Les processus et les outils élaborés sont partagés avec d’autres collèges de milieux francophones en situation minoritaire poursuivant des objectifs similaires dans le domaine de la formation en petite enfance.
Grossir les rangs des éducatrices et des éducateurs de la petite enfance par le déploiement de stratégies de recrutement, de rétention et d’appui en matière de formation initiale auprès des services de garde francophones.
Le nombre de professionnels francophones certifiés augmente avec l’insertion de plus de 60 nouvelles recrues. Les places en garderies francophones augmentent aussi. À titre d’employeurs, les services de garde adoptent des pratiques qui favorisent la rétention du personnel et, de ce fait, le taux de roulement est en baisse. Il est possible de suivre une formation créditée initiale et/ou continue tout en travaillant, sans perte salariale, grâce à des subventions d’appui et de suppléance.
Dans le cadre d’un projet pilote, mettre en œuvre une stratégie à trois volets de recrutement et d’appui à la formation en petite enfance en Saskatchewan.
Plus d’une vingtaine d’éducatrices et d’éducateurs sont recrutés; les postes vacants dans près d’une dizaine de services de garde sont pourvus. Il est possible de s’inscrire aux programmes de formation créditée initiale et continue, tout en conservant son emploi, sans perte salariale, grâce aux subventions de suppléance pour l’embauche de substituts. Une stratégie trois fois gagnante : pour les professionnels, pour la petite enfance fransaskoise et pour les services de garde francophones.
Dans le but de favoriser l’ouverture de garderies familiales menant à la création d’un plus grand nombre de places francophones, actualiser l’offre de formation d’introduction à la jeune enfance et aux services de garde en milieu familial.
Offerte en présentiel et à distance, la formation est beaucoup plus interactive; le contenu actualisé des cours reflète désormais les perspectives autochtones et métisses. L’université accueille une première cohorte de 20 étudiants. Les inscriptions au diplôme d’éducation de la jeune enfance augmentent. Avec la collaboration des parents manitobains et des municipalités bilingues, les efforts se mobilisent à l’échelle provinciale autour de l’ouverture de garderies familiales dans l’intérêt de la jeune enfance et des familles franco-manitobaines.
Répondre aux besoins variés et particuliers de la population étudiante francophone en développant un nouveau mode de prestation de la formation et en renforçant le diplôme en éducation de la jeune enfance.
Le nombre de diplômés en éducation de la jeune enfance admissibles à la classification d’éducatrice ou d’éducateur de niveau II augmente — en fait, il double comparativement à l’année précédente. Les apprentissages sont consolidés et l’accès à la formation est amélioré grâce à l’introduction de modes de prestation variés, par ex. en présentiel et à distance, en mode synchrone et asynchrone. Étudiants et professeurs disposent des outils pédagogiques nécessaires à la réussite d’une formation dispensée en mode hybride.
Dans le cadre d’un projet pilote, déployer une stratégie de recrutement, de rétention et d’appui à la formation en petite enfance pour les travailleurs souhaitant étudier tout en travaillant.
On compte plus d’une vingtaine de nouvelles recrues. Un plus grand nombre de places s’ouvrent en milieux de garde francophones. On constate un rehaussement de la qualité des services en français grâce à une main-d’œuvre professionnelle qualifiée et pleinement engagée envers le milieu de travail franco-albertain. Les services de garde bénéficient d’une subvention d’appui pour couvrir le temps que les travailleurs consacrent aux études. Le sentiment d’engagement est plus fort et, de ce fait, les taux de recrutement et de rétention sont plus élevés.
Mettre en place d’importants jalons pour renforcer le secteur de la petite enfance en milieu minoritaire en commençant par la création d’un centre de formation continue et d’un certificat en éducation spécialisée.
Le nouveau centre de formation continue est animé par une dizaine de maîtres formateurs. Les formations qui y sont offertes sont adaptées au contexte franco-albertain. De plus, le nouveau certificat en éducation spécialisée permet un appui adapté au développement des enfants francophones. Ainsi, les professionnels de la petite enfance ont accès à des formations ponctuelles en plus de pouvoir maintenir ou rehausser leur niveau de compétence en français. De plus, grâce à la mise en œuvre d’une stratégie de promotion et de valorisation ciblée, la profession attire de nouvelles recrues, ce qui profite pleinement à la petite enfance franco-albertaine, y compris les enfants ayant des besoins spéciaux.
Développer un programme de formation initiale en petite enfance et un service de reconnaissance des acquis pour favoriser une intégration rapide, en plus d’offrir de la formation continue aux professionnels de la Colombie-Britannique et du Yukon.
Le programme de formation initiale est adapté à la réalité francophone en contexte minoritaire; la construction identitaire et la sécurité linguistique font partie intégrante du programme. La prestation du programme est souple pour permettre un apprentissage à distance. Grâce au service de reconnaissance des acquis et à l’offre de formation de renforcement, les compétences des travailleurs qualifiés augmentent, ces derniers s’insèrent plus rapidement sur le marché du travail et ils ont une meilleure compréhension du contexte minoritaire franco-colombien et franco-yukonnais.
Dans cinq secteurs d’importance, déployer une série de stratégies en vue de recruter et de maintenir en poste, dans les services de garde francophones, des éducatrices et des éducateurs désirant suivre une formation initiale et/ou continue.
Les stratégies ont réussi : une quinzaine d’employés ont été recrutés dans le cadre du projet pilote travail-formation touchant une vingtaine de services de garde francophones participants; des subventions en appui à cette formation ont été versées à ces services de garde francophones; une trentaine d’intervenants ont accès à du perfectionnement professionnel en français; une campagne de valorisation des carrières en petite enfance en milieu francophone a été menée dans les communautés ciblées.
Développer un programme de formation initiale en petite enfance et un service de reconnaissance des acquis pour favoriser une intégration rapide, en plus d’offrir de la formation continue aux professionnels de la Colombie-Britannique et du Yukon.
Le programme de formation initiale est adapté à la réalité francophone en contexte minoritaire; la construction identitaire et la sécurité linguistique font partie intégrante du programme. La prestation du programme est souple pour permettre un apprentissage à distance. Grâce au service de reconnaissance des acquis et à l’offre de formation de renforcement, les compétences des travailleurs qualifiés augmentent, ces derniers s’insèrent plus rapidement sur le marché du travail et ils ont une meilleure compréhension du contexte minoritaire franco-colombien et franco-yukonnais.